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[P​.​U​.​T] Happy Days (pogo 032)

by pogorecords

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  • Compact Disc (CD) + Digital Album

    DOWNLOAD COMPLETE DIGITAL VERSION HERE
    putmusic.bandcamp.com/album/happy-days-2005

    01 The begining of the end 02:32
    02 My obvious fact 08:04
    03 Follow my wave 04:24
    04 In my corner 05:39
    05 Tactic scare 05:32
    06 Shade 05:18
    07 Own destruction 06:12
    08 New direction 09:13
    09 Cut off the world 06:46
    10 The end of the begining of the end 19:18
    + Bonus

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putmusic.bandcamp.com/album/happy-days-2005

01 The begining of the end 02:32
02 My obvious fact 08:04
03 Follow my wave 04:24
04 In my corner 05:39
05 Tactic scare 05:32
06 Shade 05:18
07 Own destruction 06:12
08 New direction 09:13
09 Cut off the world 06:46
10 The end of the begining of the end 19:18
+ Bonus

[P.U.T]
Lionel Beyet: Bass/Voice/Rythms
Alexandre Vitrac: Guitar
Nicolas Beyet: Rythms/Prog and live sound
Valoux Raoult: live video projection
extra [P.U.T] member:
Loïc Beyet: Rythms on tracks 1,2 and 9
Dave Ezra: Rythms on track 5

recorded 29 to 31 july 2004 at "Les bertins" (16) by Yann Pillas and Nicolas Beyet
Mixed on september 2004, the 17-18 and 19 at home by Yann Pillas and [P.U.T]
Mastered by by Yann Pillas and Nicolas Beyet

all songs by [P.U.T], except 1, 2 and 9 by Lionel and Loïc Beyet
track 5 by Dave Ezra, Alexandre Vitrac and Lionel Beyet
hidden track: remix by Garlic.wav (aka Loïc Beyet)
credits
released 20 May 2012
***** Chroniques « Happy Days » ******

Attention! Ici, contrairement à ce qu'indique le titre, point de gaieté, de joyeusetés. Tout n'étant qu'atmosphère pesante et textes obscurs. Ce n'est pas à proprement dit du metal même si le groupe utilise des guitares, une basse et de la batterie (une boîte à rythmes,en fait). On peut même entendre de temps en temps des solos de gratte. Le tout est fondu dans une masse sonore indus/ambiant avec un chant limite hardcore. On pourrait faire le rapprochement avec leurs concitoyens de Proton Burst, pour ceux qui connaissent. L'ensemble est relativement lent et long (73 minutes !). A conseiller aux amateurs de musiques différentes. Excellent tout de même.
www.metalize-it.be

la musique de [P.U.T] n'a rien de conventionnel et c'est tant mieux... entre noisy punk et indus, rien de tel pour commencer la soirée avec un groupe de rock qui définit ses propres règles du jeu.... (l'abri blues (salle de concert) ) Bois d'arcy)

Quelle étrange idée pour un groupe hexagonal de se baptiser [P.U.T.] ! Mais encore plus artistiquement discutable est ce choix d'ouvrir "Happy Days" - troisième opus du groupe depuis 1998 - sur un sample de film pseudo horrifique pour ado en version...française ! Outre son côté passablement éculé, la maladresse du procédé prête ainsi beaucoup plus à sourire qu'à instaurer un quelconque climat d'angoisse. Et la musique dans tout ça ? Hé bien le style de [P.U.T.] est assez éclectique et expérimental, donc difficile à cerner, lorgnant plutôt du côté du rock bruitiste et de l'indus à la Pitchshifter, Godflesh ou Neurosis, s'accommodant de sonorités métal, de boucles électro et d'une BAR qui, une fois n'est pas coutume, est bien programmée et colle bien à la démarche du quatuor. "Happy Days" contient des arrangements et des riffs intéressants ("Shade", "In My Corner", "Cut Off The Word"), mais également des points faibles qui le tirent vers le bas: morceaux souvent trop longs, manque de structure et de cohérence, textes simplistes, chant monocorde, faisant de "Happy Days" un album inégal, dont l'écoute tient à la fois du supplice et de la découverte. Les assoiffés de nouvelles sensations soniques dotés de nerfs solides peuvent s'y essayer...http://www.obskure.com/fr/kro_model.php?n_kro=3729

Petite révélation, pour ma part... [P.U.T], c'est 4 gars des Yvelines qui font un mix entre (accrochez-vous) noise, indus, dark, dub, punkcore, emo, rock... Soit. Déjà 2 albums, 4 maxis (dont 1 session accoustique !!), et un bon nombre de dates écumées à travers 4 ans de tournée, on se fourre entre les oreilles une musique minimaliste supportée par une boîte à rythme, répétitifs, lancinants, ambiances sombres et riches, des plans de gratte rock (Shade), et voyageant (comme je l'ai mentionné plus haut) à travers un gros nombre d'horizons musicaux. Du coup, je ne trouve pas grand choses à dire, tellement je suis bouche bée... No Comment...
Rik / metaluzine.free.fr

Je ne connaissais pas le terme d'"emotional noise" jusqu'ici, mais c'est voyant l'album Happy Days du duo yvelinois [P.U.T] que le terme m'est venue jusqu'aux yeux. Je ne suis pas très friande de cette appellation "emotional" mais il me semble que le mot est plus ou moins approprié. Même si à la place d'"émotionnel", j'y aurais bien mis "tourmenté". En effet, la musique de [P.U.T] c'est un brin émo, un peu de hardcore et une touche de métal. Le tout est très répétitif, mais il semblerait que ce soit tout l'intérêt de leur musique.
Les titres sentent le "fait-maison" à plein nez, mais il va sans dire que cela ne dérange personne. Il est juste légèrement dommage que de ce fait, le son sonne assez renfermé, mais dans l'ensemble ce n'est pas tellement gênant. Leur musique est vivante, mais très terre à terre. Il y a de l'idée, de l'émotion, du talent, de la personnalité et tout cela se retrouve notamment dans le titre Follow my wave. Mais le tout manque sincèrement d'énergie et de caractère. Je ne dis pas que leur musique n'est pas dynamique pour autant, mais je pense qu'il ne suffit pas de vomir ses tripes pour lancer un cri qui décoiffe.
C'est au final un album plutôt riche, ambitieux et très prometteur, mais qui comporte beaucoup de petites erreurs. A suivre cela dit. www.scareculture.net

Tiens le nouveau P.U.T .... serait il tombé dans les méandres de la chanson pop et commercial après un mini album acoustique (excellent) et surtout avec l'apparition très remarquée de leur t-shirt porté par la star de la "real tv" de l'été (dont je tairais le nom) ?.... Ouf quel soulagement leur "happy days" nous replonge une nouvelle fois dans les tourments des jours les plus sombres et les plus oppréssants que la vie nous réserve par moment. Sur fonds de beats indus et dark hop, la guitare et la basse saturées à souhait, les frangins et leur pote nous invitent de nouveau dans leur univers musical névrosé et abrasif pour un album violent et hypnotique plus fouillé et abouti que leur précédent avec des textes personnels et engagés tantôt scandés tantôt hurlés. Enregistré par Yann Pillas (ex-Abdomens), les 73mn des 10 morceaux nous font penser à des groupes tels que Hint, Drive Blind pour l'urgence et l'expérimentation et les déflagrations musicales de Techno Animal et Godflesh pour une promenade au couché du soleil rose auprès de son "incroyable fiancé" (oups)!!! A écouter d'unrgence !!! Rom-1 - 78 Tour #31 (nov.05)

Voilà 2 frangins et un copain qui savent s’entendre musicalement. Ils nous plongent à travers la guitare, la basse, les machines et le micro dans une atmosphère digne de la 3ème guerre mondiale. Le son est très sombre, oppressant et travaillé. De morceaux en morceaux Loïc Lionel et Alex extirpent de leurs instruments des ondes de plus en plus torturantes, violentes. Les paroles sont aussi dure et malheureusement vraies « I’m so inhuman ». Ligne de basse saturée, guitare et chiant chialants, du noise, de l’indus, du punk (année 85), de l’émo, du core ….j’avoue ne pas être fan mais ce CD vaut le détour de par son originalité et son atmosphère. A ne pas louper si ils passent près de chez vous parce que des gars comme ça il n’y en a pas 4 …. Et en plus il y a une vidjay. Anaïs – Vicking #81

P.U.T est une histoire de frangin, jadis trois, aujourd’hui c’est à deux et un autre membre qu’ils continuent leur aventure sur fonds de beat indus, dark hop ou électro, de guitares à la saturation névrosée et de chant tantôt rappé, scandé ou tantôt hurlé. L’ombre de Portobello Bones est présente. Ils sont mignons comme ça, agréables et tout et tout mais ne leur laissé pas un ordi et des grattes avec distos, ils risqueraient de vous envoyer à la figure une dose de malaise et de traumatisme que seul un évènement tragique dans la vie peut générer …. C’est clair que c’est n’est pas du laï laï ! « happy days » qu’ils disent ! Quoi qu’il en soit, au bout de six disques dont 3 albums, je trouve qu’ils sont moins « strickly indus » et moisn abrasifs et c’est tant mieux (le chanteur est amoureux). Les guitares, le son, les refrains sont plus fouillées que par le passé ce qui rend l’ensemble « moins de base ». Ils ont bien essayé de nous faire croire à une phase hippie en faisant une version acoustique de P.U.T. J’ai vu des babas devenir violents après l’écoute d’un de leur disque…. P.U.T reste sombre et doit rester sombre pour les « gothos », hypnotique pour les « teknoïds » et hurleur pour les « coreux ». P.U.T c’est tout ça et un univers dans lequel il faut se donner la peine de rentrer. Après vous…. Tef – Kérosène #6 (été 2005)

Groupe de hardcore apocalytique des Yvelines avec textes engagés (les crimes de Bush Jr) mais dans une veine optimiste. On passe « du début de la fin » à « la fin du début de la fin » ! NEW WAVE #10 (juin 2005)

Chacun voit midi à sa porte, [P.U.T.] y voit des Happy Days, Sexypop des Strange Days. Couleuvre métallique, rock et bruitiste, ce Happy Days déconcerte aux premiers abords, pas vraiment classifiable, si ce n'est par un argumentaire à rallonge à faire pâlir un commercial, ou à travers une soif de découverte et d'expérimentation. La presse déchaînée elle-même ne sait où donner de la tête et est à la limite de la perdre, Neurosis, Godflesh ou Pitshifter sont des noms qui reviennent dans les bouches, mais où l'on pourrait citer Unearthed, NPFS, Sleeppers sans faire tache dans le décor. Un accent de Sleeppers, avec une foultitude d'influences diverses, [P.U.T.] fait tout sauf du conformisme et de la pop commerciale. Ce Happy Days rugit, ronfle, rumine, s'énerve, jouit même avec "Own destruction" et sa basse dédaigneuse et arrogante, saturation de fuite, slide granuleux, la progression orgasmique pulvérise les crescendos métalliques contemporains, à rendre jaloux un Isis ou un Buried Inside, le son se fait son propre écho comme un Ouroboros, à l'image de l'intro "The beginning of the end" et de l'outro "The end of the beginning of the end" sans queue ni tête d'ailleurs. "In my corner", "Cut off the word" ou "Shade" délivre également une certaine forme de quintessence de ce que peut-être les titres des mythologiques [P.U.T.].
Déluge sonore bruyant ("Follow my wave"), hallucination électronique ("In My corner"), scaphandrier métallo-industriel ou même introspection métaphysique ("New direction") que l'on retrouve chez certains groupes screamo, l'hydre musicale incarné par ce Happy Days donne dans plusieurs direction à la fois tout en restant entier et gardant sa cohérence. L'expérience est éprouvante et enrichissante, et conclut sur l'évidence que [P.U.T.] est vraiment un truc de pute, et donc à écouter avec attention. Pooly - www.w-fenec.org

Dés les premières notes on se plonge dans leur univers assez sombre et planant. Ce groupe ne peut être classifié de métal mais plus d'indé rock torturé. La basse est omniprésente, bien grasse avec une bonne dose de saturation. Pas mal d'ambiances électro hypnotiques. Cet album vous entraîne dans un voyage, il pourrait très bien servir à une bande originale de film un peu torturé comme par exemple sur "Salton Sea" avec Val Kilmer.... Cet album n'a pas de limite ni dans le temps ni dans la durée, il est assez inclassifiable, les morceaux sont très longs à partir et montent petit à petit, d'autres restent juste planants en dégageant des atmosphères très sombres. D'ailleurs le titre de l'album est assez ironique "Happy Days" avec la noirceur du contenu. La voix est en retrait sur l'ensemble des titres, elle pourrait se rapprocher de Minitry en plus grave, une voix un peu assonante et sans couleur mais qui trouve sa place sur ce type de musique. Leur musique peut toucher aussi bien les amateurs de rock que de métal, screamo, électro, ils arrivent à obtenir un subtil mélange, à la première écoute on pourrait croire que l'album a été vite expédié mais au plus on l'écoute au plus on arrive à comprendre leur musique, il faut plus d'une écoute pour adhérer totalement à leur son et leurs envolées. Une compo se dégage des autres c'est "New Direction ", d'une durée de plus de 9 minutes d'une véritable violence, non pas par les notes mais par l'ambiance. Keish www.french-metal.com

Dans les sous-sol d'une usine désaffectée, j'ai croisé des machines et des humains que j'ai d'abord pris pour des robots tellement ils semblaient hypnotisés par je ne sais quelle formule diabolique noisy post industrielle...: [P.U.T.] je crois. Distillant des sons de saturations guitaresques et des voix torturées sur des rythmes martelés, ils évoluaient, un troisième album dans leur cargaison, vers des espaces encore peu explorés. De leur démarche saccadée, jaillissaient des mélodies que le commun des mortels aurait pu prendre pour des cris ou des appels à l'aide. En fait, tout tourbillonnait dans un mélange sonore structuré à l'allure hostile mais qui laissait espérer des jours heureux. Quelques minutes plus tard, je me retrouvais au beau milieu d'une sombre forêt, telle une naufragée de retour sur la terre ferme après expérience sonore incroyable. (Laëtitia) www.wilrecords.com


Uppercut en dix rounds. KO debout, auditeur au tapis. Succession logique des choses. On commence pourtant avec des allures amènes et calmes. Puis l'atmosphère se fait vite oppressante. Une voix de femme apeurée : "Y'a quelqu'un ?", demande-t-elle dans ce premier titre qui donne le la, "Beginning of the end". Un désespoir terrifiant, des ambiances répétitives et des sons saturés qui correspondent bien au style indus qu'on attribuerait peut-être trop vite au groupe. D'ailleurs, on y repère du punk, de l'emo, du noise. Une lourdeur s'en dégage, elle prend aux tripes dans l'inquiétant "Following my wave". Ce troisième opus du quatuor des Yvelines fait donc dans la rugosité, avec des vocalises gutturales parfaitement mixées à de l'électro bien senti et ce qu'il faut d'expérimentation musicale pour produire une ivresse jouissive. A condition bien sûr de monter le volume pour faire accélérer ce rouleau compresseur musical ultra-radical. www.longueurdondes.com/articles/2118.htm

Le nouvel album du quatuor français [P.U.T], enregistré par Yann Pillas (ex-Abdomens et membre de Matahari et Rune) redéploie un son métallique, urbain et ouvert. Télescopage d’influences assumées, pour aboutir à ce terrifiant et sale Happy Days. Les voix, éructées, jaillissent telles un appel au secours, hurlent le désespoir et ne se résolvent pas à l’extinction (« Shade ») face à ces boucles rythmiques implacables, répétitives. Empruntant autant au métal industriel, au punk, à l’émo qu’au noise pour créer un climat oppressant (« Own destruction »), cette dissection de l’âme enregistrée en conditions « live » et en deux jours promeut le collage de saturations organiques et d’intempestifs samples cinématographiques. Happy Days renvoie alors l’image d’un groupe solidifié, professionnalisé, plus ample et urgent que jamais. Les accalmies passagères (« New direction ») laissent entrevoir une maturation du propos et au-delà de la relative longueur du disque, on se plaît à se demander quelle alternative [P.U.T] va pouvoir inventer suite à ce conséquent nouvel essai. Emmanuel Hennequin / D-SIDE #28 (mai-juin 2005

Troisième album pour ce trio des Yvelines. Toujours dans un registre sombre et déprimant, P.U.T. nous pondent 10 morceaux pour 73mn de musique oppressante et ou des esthétiques musicales diverses se mélangent… Le tout sonne Métal Noise Indus, mais des influences plus contrastées sont a signaler ici et la (Dub, Abstrakt, Electro…), rendant cet album riche et intéressant. Fans de Hint, Godflesh, Killing Joke, Scorn, Ministry and co. Faites de la place dans votre discographie !
Overcome records

Non, il ne s'agit pas d'une faute d'orthographe et encore moins d'un album de P.M.T. Il s'agit bien ici d'un groupe français. Ou plutôt d'un duo élargi. Après plusieurs changements de line-up, Lionel 'Lib' Beyet (basse, chant, programmation des rythmes) et Alex Vitrac (guitare) ont décidé de continuer dans cette formule, s'entourant parfois de quelques-uns de leurs potes. Une vidjay les accompagne aussi en live (mais ça, pour la chronique de l'album, on s'en fout). Après une intro cinématographique pas franchement indispensable, les sonorités malsaines entrent lentement en scène et, dès la deuxième piste, le cocktail guitare, basse, voix et samples offre la tournée générale de saturation. Entre sombre noise et electro à tendances industrielles, les morceaux de [P.U.T] se construisent sur la longueur et toujours low-tempo. Comme une lente évolution vers le chaos final… Le nom de l'album est donc bel et bien ironique et c'est mieux comme ça ! Le morceau 'New Direction', le plus planant et le plus 'neurosien', est particulièrement réussi. Si l'on ajoute encore au disque les interludes bruitistes, voire bruyants – quatorze minutes de larsens par exemple – on obtient un album des plus explosifs. Attention donc au feu d'artifice de [P.U.T]…
[Bandel] - www.transitmag.ch + numéro 31

Difficile de ne pas évoquer le terme indus lorsqu’on parle de [P.U.T]. Pourtant, il y a toujours eu quelque chose de plus, certainement l’héritage de groupes comme Hint (impossible de ne pas y penser), Killing Joke, Godflesh ou autre Scorn. Ce quelque chose en plus est pour moi le côté punk sans cesse présent ; ce qui nous donnerait donc une musique sombre, lourde et hargneuse. Ce nouvel album sent, à mon humble avis, plus l’abstrakt hip-hop et les déflagrations groovy d’un Dalek ou d’un Techno Animal. Mais avec toujours en filigrane ce lien les unissant a une scène d’antan où évoluèrent Portobello Bones, Sleeppers, Hint, Drive Blind… Un bon disque, globalement « positif » dans son écrin de noirceur. Arkom – echodanslaplaine.free.fr

Pour ceux qui ne connaissent pas encore [P.U.T], sachez qu'ils existent depuis déjà quelques temps. Certes le projet PUT des frères Loïc et Lionel n'a pas été en continu, en raison de break et autres, mais existe bel et bien toujours, en voici la preuve avec ce nouvel album " Happy Days ". Après le spectaculaire et un peu fou " Surgical ", les compères remettent le couvert avec 11 nouveaux titres et une intro (oui il y a une chanson cachée, tu sais compter..), et comme toujours au moins 70 minutes de musique. [P.U.T] joue dans un registre particulier, entre noise et indus, imaginez un Bahaus gavé de samples voir un Ministry dans ses phases planantes, et bien [P.U.T], c'est ça un mix d'ambiances électro-indus noires, parfois lourdes, parfois plus aériennes. Certes les guitares sont là pour nous rappeler le côté noise par des riffs répétitifs donnant une cadence redoutable au tempo. Les amateurs du style ne seront pas déçus " Happy Days " est profonds, sournois, un brin obscur, le parfais mélange entre mélancolie et folie, de quoi s'enivrer encore pour quelques années.
Kronik O.S. www.spiritribe.com (hammerock)


On aurait tendance à trop vite classer [P.U.T] dans le classeur indus, mais ce serait oublier les guitares plutôt noise ou les cris saturés qui transpercent la froideur des machines. Ce serait aussi passer sous silence certaines sonorités de la basse. Et bien nous ne faisons donc pas l'erreur et nous les classons dans le dossier "inclassables à forte tendance électronique"... Vous en aurez donc pour environ 1h et quart de musique froide, d'ambiance négative et de ce sentiment de malaise qui s'en retire même si à la longue le style peut lasser. Heureusement certains morceaux se doivent d'être écouté à fond et nous rappellent que [P.U.T] produit avant tout une musique destinée au live avec à n'en pas douter un show haut en décibel et en image. Caym / /www.metalland.org

Troisième album du groupe yvelinois, qui devrait être paru d’ici peu. J’ai eu accès à quelques titres de « Happy days ». Un peu durs à commenter, les skeuds du duo, voire même carrément compliqué. Mais les morceaux sont plus calés que sur l’album « Bitterness, despair & cynicism », à l’époque visiblement assez artisanal. Peu de surprises. Un emotional noise qui prend au cœur ; une boite à sons, une guitare, une basse et une voix trash… Des morceaux longs, assez répétitifs, mais pas forcément dans le mauvais sens. Je m’explique : une base rythmique béton, simple et d’une régularité sans faille. Une basse à peine plus développée, la guitare suit…La musique se pose petit à petit, dans un climat tantôt oppressant, tantôt enivrant. Elle évolue, suit son cours, toujours en fusion avec un rythme fortement marqué, et quelques paroles rugueuses. Il y a tout une facette expérimentale dans [P.U.T.] qui lui donne son ampleur et porte celui qui se laisse absorber dans une litanie calme, et pourtant lourde. Pour être plus concret, le combo garde ses habitudes, avec un petit plus dans l’électro, en rupture avec les voyages acoustiques de leur dernier maxi édité. On trouve un air industriel d’une ère post-nucléaire rude, sans compromis. Une sorte de rouleau compresseur venu d’un lointain inquiétant… Des quatre morceaux à ma disposition, seul « Following my wave » est un tant soit peu conventionnel (toutes proportions gardées, on parle bien de [P.U.T.]), et il faut parfois s’accrocher pour comprendre, aimer le son et la méthode particulière du groupe, franchement alternative, qui fait de tous ses morceaux des pièces uniques, enregisrés souvent dans les conditions du live. J’attends l’album entier. Une expérience comme celle-là doit se prolonger pour délivrer sa quintessence. Une performance dérangeante qui prend aux tripes. A écouter, et à voir les oreilles ouvertes. Tibo -http://www.toc-78.fr.st/

MAIS AUSSI SUR LES ONDES :
* Emission du 29/05 – 5/06 – 12/06 et 19/06 de Die METAL sur Radio Coloriage
* 31ème au classement XXX Férarock du mois de mai 2005 sur radio Béton
* 10ème au classement XXX Férarock du mois de mai 2005 sur SOL FM
* diffusion sur le mois de mai sur radio FPP émission KONSTROY
* Classement XXX mois de juin sur Radio Béton
*5ème au classement XXX Férarock du mois d’août 2005 sur radio Béton
* 18ème au classement XXX Féralist du mois d’août 2005 sur radio Béton
* 43ème au classement XXX Férarock du mois de juillet 2005 sur radio l’EKO
* 15ème au classement XXX Férarock du mois d’août 2005 sur radio l’EKO
* 27ème au classement XXX du mois de septembre du réseau Ferarock

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