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JARS - Д​Ж​Р​С II (pogo 127)

by pogorecords

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  • CD digipack "ПОДЛОГ" + "JARS II"
    Compact Disc (CD) + Digital Album

    CD digipack 6 panels including:
    EP 5 songs  "ПОДЛОГ" + album 9 songs "JARS II"

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  • 2nd press Limited Edition 12" Vinyl.
    Record/Vinyl + Digital Album

    second pressing of 150 new copies
    co-production between they live! (RU), 59 SRS (RU), JARS (Ru) & P.O.G.O. rds (Fr/Be)

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  • 150 copies Limited Edition 12" Vinyl.
    Record/Vinyl + Digital Album

    150 copies Limited Edition 12" Vinyl.
    co production between 5 labels.
    SOLD OUT

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about

RECORDED DECEMBER 2017 – MARCH 2018 AT DTH STUDIOS (dthstudios.com). MIXED 2018 AT DTH STUDIOIS.

MADE BY ANDREI LETCHIK (RECORDIND AND MIXING AND MASTERING),
NIKOLAI LOBANOV (MASTERING),
VLADIMIR VESELIK (BASS),
ALEXANDER SELEZNEV (DRUMS),
ANTON OBRAZEENA (GUITAR, VOX, NOISE (3)),
NIKITA ROZIN (VOX(7)), VASYA OGONECHEK (VOX AND LYRICS (5)), ANTON PONOMAREV (SAX (9)).

ART BY MASHA TCHERNAYA.

www.facebook.com/jarsmsk/

IN TOUR 2019
21/02 – MOSCOW (RU) УСПЕХ
21/02 - старт евротура jars и rape tape в успехе (+яма)
22/02 – ST. PETERSBURG (RU) AF Brew Taproom
23/02 – TALLINN (EE) Sveta Baar
24/02 – RIGA (LV) ADMINU IELA 4
25/02 – KALININGRAD (RU) КАК БЫ БАР
26/02 – VILNIUS (LT) XI20
27/02 – WARSAW (PL) Chmury
28/02 – GORZOW WIELKOPOLSKI (PL) CKN Centrala
01/03 – BERLIN (DE) cassiopeia Berlin
02/03 – HAMBURG (DE) SECRET PLACE
03/03 – WROCLAW (PL) D.K. Luksus
05/03 – PRAGUE (CZ) Eternia Smichov
06/03 – BRNO (CZ) Bajkazyl Brno
07/03 – KOŠICE (SK) Collosseum Club Košice
08/03 – BARDEJOV (SK) BAŠTA - kultúrno-komunitné centrum
09/03 – BREST (BY) ДК ПРОФСОЮЗОВ
10/03 – MINSK (BY)

TOUR PART II
• 1/11 Moscow (RU)
• 2/11 Minsk (BY)
• 3/11 Grodno (BY)
• 5/11 Warsaw (PL)
• 6/11 NEED HELP (Szczecin/Wroclaw/Poznan)
• 7/11 Berlin (DE)
• 8/11 Hamburg (DE)
• 9/11 NEED HELP (North-west Germany/The Netherlands)
• 10/11 Liege (BE)
• 11/11 Brussels (BE)
• 12/11 Paris (FR)
• 13/11 Guéret (FR)
• 14/11 Urretxu (ES)
• 15/11 Pontevedra (ES)
• 16/11 Lisbon (PT)
• 19/11 NEED HELP (Madrid/Valencia//South of PT/ES)
• 20/11 Barcelona (ES)
• 21/11 Toulouse (FR)
• 22/11 Aubagne (FR)
• 23/11 Annecy (FR)
• 24/11 NEED HELP (South/Cental Germany//Austria)
• 26/11 Prague (CZ)
• 27/11 NEED HELP (Wroclaw/Krakow//South/Central PL)
• 28/11 Vilnius (LT)
• 29/11 Riga (LV)
• 30/11 Tallinn (EE)
• 1/12 Tartu (EE)
• 7/12 St. Petersburg

INTERVIEW
blastfromthecrast.wordpress.com/2019/02/14/interview-with-jars/

REVIEWS
L’enregistrement n’est pas inconnu. Il circule sur le net et depuis le bandcamp du groupe depuis un an. Un album voué aux gémonies du monde virtuel. Heureusement, cinq labels russes et un français (P.O.G.O. records), l’album dont je ne saurais prononcé le nom du trio russe Jars a vu la lumière du jour. Uniquement 150 exemplaires mais c’est déjà ça de pris. Ce qui fait le premier disque de Jars à sortir en vinyle après plusieurs cassettes qui n’ont jamais franchi les frontières russes.
Ce n’est donc pas avec ce disque que Jars va inonder le monde de sa bonne parole et répandre sa fantastique musique aux quatre coins du globe mais franchement et selon la formule archi rabattue, si ce groupe venait d’un endroit de la terre, genre vers l’occident où ça parle anglais, ce groupe ne serait pas loin d’être sur toutes les lèvres. Dans les sphères du noise-rock en tout cas. Suivant un axe Jesus Lizard/Unsane/Ken Mode, Jars a parfaitement su remodeler ce lourd héritage à sa sauce. Arrosé avec une bonne dose de vodka par-dessus tout ça, servi chaud et flambé avec passion.
Parce que non seulement Jars maîtrise les codes du genre mais il rajoute une belle bouffée de folie à l’instar des quatorze minutes finales de Any Resemblance Is Coincidental (je vous donne la traduction en anglais qui figure au dos de la pochette parce que le russe et le clavier azerty ne sont pas amis). Un morceau grand comme la Sibérie mais avec les températures du Sahara. Une grosse montée de chaleur, intense dans le moindre recoin, flamboyante, un chanteur qui finit par perdre la raison et terminant dans une longue complainte d’un saxophone couinant à la mort, des larsens qui appellent à l’émeute et de grandes baffes de batterie. Et comme pour débuter, les neuf minutes de E vous tendent la main pour mieux vous la mettre dans la tronche, sans round d’observation, dans de longues mesures répétitives foutrement appuyées qui vont peu à peu se diluer dans une sorte de blues-noise crapuleux secoué à intervalles réguliers, on se dit que Jars n’est pas non plus le groupe noise-rock lambda et qu’il a bien d’autre chose à faire que de copier les cousins américains.
Entre ces deux belles bêtes charismatiques, Jars aura asséné des titres plus concis qui filent vent dans le dos, urgents, toujours aussi accrocheurs, violents, sans concession. Le bassiste Vladimir Veselic a dû beaucoup écouter David Wm. Sims (mais qui ne l’a pas écouté ?) mais qu’importe, Jars a le sens de la composition enlevée, habilement articulée et écrit une poignée de morceaux rentrant dans le lard tout en le découpant en fines lamelles. Les arpèges sont diaboliquement tranchants et non dénués d’une aura mélodique. La voix mime la démence avec des mots en russe rajoutant du piment, de la dureté et un fond de gorge trempant dans la fumée charbonneuse. Des titres comme Catbus ou A Moveable Feast, j’en veux bien à tous les petits déjeuners. Et comme l’enregistrement sonne d’enfer, cet album devient un incontournable, une vraie bonne claque. Et n’hésitez pas à écouter leurs autres enregistrements, Jars -dont le seul membre continu et tête pensante est le guitariste-chanteur Anton Obrazeena - pratique la qualité depuis 2011.
www.perteetfracas.org/zine/kros2019/kros_j/jars_dxpc_II.htm

(...) With over 69 minutes of pure nasty music of noisy punk you could ever ask for? Jars are the key to your enjoyment of not JUST giving you noise, aggression or angry punk rock, but giving you double treatment of aggression/angry punk, sheer noise, buzzsaw/noisy guitar riffs, instrumentation sections, plenty of melodies, rhythms, beautifully composed, craftmanship/musicianship & noise/punk rock music, Even the Forgery album as some nice punk ‘n’ roll melodies (...)
www.metal1on1.com/jars

Pochette noire. Contours blancs d'une rose noire. Fleur carnivore. Quelques ratiches disséminées sous la tige. A vous de signifier le symbole. Pour vous aider au verso un anneau de trousseau de clef, pendeloques et camelotes d'instruments bizarres. Kit de survie improbable ou couteau suisse du pauvre. Dans le coin inférieur des tessons de bouteilles saisies par leur goulot et fracassées sur le rebord d'une table lors d'un baston dans un rade louche, une fleur de verre déchiquetée comme un calice brisé, agrémentée d'un ruban marqué Jars. L'ensemble n'incite pas à un optimisme béat.
A l'intérieur, sur une feuille cartonnée, s'étalent les lyrics. Ont été établis par un traducteur peu performant. Certains restent sinon incompréhensible, du moins des plus ténébreux.
Il s'agit de la reprise de l'album JARS II, contenant neuf morceaux, certains ont déjà été chroniqués dans notre 338 ° livraison du 14 / 11 / 2018, mais la traduction en anglais est parfois divergente avec celle que nous avions proposée.
E ( E ) : neuf minutes de désespoir, rôde comme un relent d'harmonica, mais ce n'est qu'une sursaturation de la guitare, la batterie effectue un travail de sape, elle enfonce les piliers de soutien du tunnel au bout duquel on déposera la bombe à neutrons. Dans le déluge sonore surnage l'illusion de voix expurgées de leurs corps. Grandiloquence des effets, suivi du grincement de l'alternateur de mise en tension du bouton de l'explosion finale. Les trois premières minutes de l'introduction du morceau rendent caducs les trois-quart de votre discothèque metal. Désolé, mais c'est ainsi. Le pire c'est que ça ne s'améliore pas par la suite. Un vocal excédé de misère. La voix est répétée comme une prière de haine épuisée. A vous glacer le sang qui coule des misérables cadavres ambulants de vos contemporains pour qui vous n'éprouvez aucune pitié. A commencer par vous. Superbe. Convulsion apodictique. Knife the existence ( Poignarde l'existence ) : la suite immédiate, ces séquences de film d'angoisse où la camera s'arrête sur l'arme du crime futur qui palpite dans la froide lueur de la lune. La musique est à son paroxysme. C'est la peau entre vos omoplates qui est prise en gros plan. Jaillissement du sang. Heureusement ils ont coupé, vous n'auriez pas supporté. A moveable feast (Une fête mobile ): vous avez fait cette expérience tout petit. Avec le moulin à café. Vous avez soulevé le couvercle, laissé échapper la moulure et à la place vous avez introduit vos doigts et la lame tournante les a réduits en poudre et puis le moignon sanglant qui n'est plus votre main, et puis votre bras, et puis vous avez plongé votre tête dans la cuvette sanglante, et vous avez enfin connu la paix extatique. Ceci n'est pas une traduction. Une transcription. Une auto-mutilation si vous préférez. Catbus : paroles incompréhensibles, c'est un peu comme si vous alliez promener votre chat au parc, vous entendez la guitare qui miaule et puis la batterie qui s'abat méthodiquement, froidement. Un hachoir de boucher. Vous n'avez emporté avec vous que l'essentiel, juste la tête au fond de votre poche pour qu'il n'ait pas froid. Votre chat heureux s'en va batifoler. Vous aimeriez être à sa place. Morceau fortement déconseillé aux véganistes qui ne supporteront pas cette tranche saignante de vie de chat. The swiss army knife man ( Soldat suisse ) : certains hommes sont plus surdoués que la moyenne. Prenez soin d'en avoir toujours un dans votre poche, un véritable couteau suisse. Un tueur en série sans défaillance. Ô mon amour t'écorcher vivante me fait autant de mal à moi qu'à toi. Mais l'on aime cela tous les deux. Un morceau d'une horreur inouïe. Le coït psychique occidental dans toute sa cruauté. Musique repoussée au bulldozer, les vocaux sont un concentré orgiaque de tous les opéras de Wagner. Le drame jusqu'au bout du mélodrame. Sabotage : tuer pour exister. Ma vie dépend de votre mort. Je ne suis pas fou. Musique destructrice pour chant triomphal. J'ai enfin compris, il ne s'agit pas d'être un tueur en série, c'est l'humanité mortuaire qui nous gouverne qu'il faut liquider. Saboter l'humanité voilà le mot d'ordre. Répétez après moi. Agissez comme moi. Pulsion de mort hiroshimique ! Killed (Tué) : ce n'est pas le cri de haine de l'assassin, c'est la clameur heureuse de celui qui a franchi l'acte de la libération totale, désormais il ne fait plus partie de l'espèce humaine, il a transgressé la lisière interdite, il est là où vous n'aurez jamais la force d'aller, de l'autre côté de la ligne. En illuminative contrée inhuminative, là où n'existent plus les chaînes de l'esclavage psychologique. Ce morceau comme une flaque de vomissure puante que vous avez abandonnée derrière vous, pour que tous les autres se baignent les pieds en cette argile sacrée, signe du renoncement à leur stricte condition humanoïdisante, annonciatrice de futures renaissances. Conspiracy of silence (Conspiration du silence) : froissements de saturation, un peu comme un télégramme qui annonce une bonne nouvelle que l'on se dépêche de jeter et de brûler dans la cheminée pour que personne n'en puisse plus parler. Quant à cette Elle qui viendra, vous pouvez toujours essayer d'y croire. Vous n'engagez que vous. Any ressemblance is coincidental ( Toute ressemblance est coïncidence ) : un grand final. Une superbe mise au point. Philosophique. Métaphysique. Pour échapper à soi-même il suffit d'être deux, de se dédoubler. Etre l'innocence et à l'autre toute la noirceur, qu'il tue à ma place, ma souffrance l'autorise. Tout lui est permis puisque je ne lui interdis rien. La batterie comme un chemin de croix. Je détiens la candeur du héros, et lui manipule la hache de l'injustice. Le cauchemar du monde. Si vous voulez vous serez la fleur carnivore qui se dévorera elle-même. Ensuite ce sera le tour de votre double et de vous-mêmes. Vous tomberez dans la fosse que vous aurez créé de vos dents manducatoires. Mais vous ne serez pas encore sorti d'affaire, tout trou n'est qu'un fond entouré de murs, et plus vous irez profond plus les murailles se dresseront. Une fois que vous aurez écouté ce grondement de quatorze minutes, il vous faudra songer à classer le deuxième disque du Velvet Underground et la Metal Music Machine de Lou Reed sur l'étagère des comptines que vous aviez achetées pour endormir votre nouveau-né.
Que dire de plus. Après l'effondrement de l'Union Soviétique, un magasin moscovite visant la clientèle des nouveaux milliardaires avait affiché un excellent slogan pour les attirer : '' Vous ne trouverez pas plus cher ailleurs !''. Pour attirer l'attention des amateurs de punk-noise-metal-musique extrême, je ferai de même : '' Vous ne trouverez pas pire ailleurs !''
D'ailleurs le tirage de P.O.G.O. RECORDS ( N° 127 ) s'est épuisé en quelques jours...
chroniquesdepourpre.hautetfort.com/archive/2019/11/26/chroniques-de-pourpre-440-kr-tnt-440-chambers-brothers-mark-6193409.html

Jars is a three piece band from Москва, Russia who formed in February of 2011. Jars play a killer style of music that incorporates elements of post hardcore, punk, and noise rock within their sound. Musically, Jars can be loosely compared to bands such as AmRep era Helmet, Unsane, The Jesus Lizard, Melvins, Pigs, War Brides, and other like-minded bands. Since forming in 2011, Jars have released a self-titled LP in September of 2011, a seven song Live LP titled Live In Vilnius in April of 2012, a six song LP titled A Moveable Feast in January of 2013, a two song EP titled Arms/Shelter in December of 2014, an eight song LP titled No in April of 2015, a ten song LP titled Live in Vilnius in July of 2016, a four song EP titled Kotobus in November of 2016, a nine song LP titled ДЖРС II in April of 2018, a nine song LP titled Vilnius III in April of 2019, and a five song EP titled ПОДЛОГ in August of 2019. ДЖРС II / JRS II is the band's latest LP, was released via Pogo records on October 15th, 2019 and is slated for release via Forbidden Place records on October 31st, 2019. On ДЖРС II / JRS II, Jars offer up fourteen tracks of killer post hardcore, punk, and noise rock. Overall, ДЖРС II / JRS II makes for an awesome listen and definitely should not be missed. Highly recommended! Enjoy!
www.deadpulpit.com/2019/10/jars-ii-jrs-ii-lp-2019.html

Os primeiros minutos deste lançamento dosrussos Jars, é um martelar constante de um riff repetitivoque nos soa mesmopesado. “E”, o dito tema, tem nove minutos e consegue fazer uma transição fantástica
desse martelar para uma melodia cheia de groove. Altures entre o sludge e o stoner mais compassado e o punk alternativo, isto
sempre com o peso do noise em cima. É uma descrição estapafúrdia, tenho noção disso, mas é o estado em que este álbum nos deixou. Visceral, cru e cheio de garra,uma excelente surpresa.
8.5/10
WOrld Of Metal magazine
bit.ly/wom27down
bit.ly/wommag27

"JARS is a noise punk band from Russia. ,EIXPC II was released by Pogo records on January 21, 2019.
My Impressions:
Right out of the gate this album is dark, heavy and oppressive. It has an almost metallic tinge underwriting the noise punk.
It proceeds forward with a Starless-era King Crimson set of riffs that are the musical equivalent of getting choked out.
The songs are squealing, raging, and distorted. The riffs are deep and full of swagger."
drive.google.com/file/d/1SF1uuVLbKqgeZ7RvV3XqJQ5sz5QRzvMz/view?fbclid=IwAR2e2cjulf1vupNSm__O5RAaAxteqV92Ui46DSmaQGEAiZOTlyTdAanGU48

Si los sonidos fuertes, distorsión y el punk rock son lo tuyo, entonces, ДЖРС II, debe estar en tu biblioteca musical.
www.zonenights.com/2019/01/jars-джрс-ii-new-album/

ARS sind eine russische Band auf dem französischen Label P.O.G.O. Records … und bei denen hat Labelbetreiber Lionel mal wieder einen richtig guten Riecher bewiesen. Denn der Noise Rock des Moskowiter Trios ist intens und hochklassig, in der perfekten Waage zwischem giftigem spannungsvollen Aufbau und den folgenden Ausbrüchen. Zwar lassen sich durchaus Anklänge an Genreklassiker vernehmen, die Band verarbeitet diese aber fernab vom Klon-Terrain, versprüht eine eigenständige Energie. Klasse
www.rrrsoundz.de/kurz-rausgehackt-februar-2019

Oroszország Anyácska kurvára büszke lehet magára, hogy van egy ilyen noise-rock együttese. Komolyan, ez a lemez bőven mestermű, ráver még a korábbi anyagukra is, pedig aztán az is mi volt. Ha valakinek új, akkor körülbelül azt kell tudnia, hogy a Jars öntörvényű, szarik az elvárásaidra, totálisan bizarr és pszichotikus és súlyos, mégis elragadó és mindennemű őrülete ellenére is viszonylag könnyen hallgattatja magát, újra és újra. Nem tudom, hányszor nyomtam már le ezt az elmúlt hetekben, de tipikusan az a lemez, amiben mindig találsz újat, szeretni- és félnivalót, meghökkentő és letaglózó pillanatokat. Változatos, kiagyalt, a műfaj nagyjai előtt alázatosan fejet hajtó (The Jesus Lizard, némi Unsane és pici Shellac, korai Butthole Surfers, Scratch Acid, korai Young Widows és így tovább) ugyanakkor saját utakon járó böszmeség. Vannak itt nyúlós, monoton, hosszú, robosztus és vonaglós tételek, egy-két perces zajpunk taglók, régi-vonalas deviáns grunge utóhatások, de a kiforgatott rock-formulák dögös halálsikolya mögül is simán hallani ezeknek a ruszki állatoknak a boldog vihogását: rockünnep ez, de csak azoknak, akiknek tele már a töke a verzé-refrén-verzé sablonságokkal. Csodálatos munka, amit amúgy ugyanazok a jó emberek adtak ki, akik az ILS kislemezét. Szaxofon: van.
csakbennhajogerendazatto.blog.hu/2019/02/06/jars_ii

Jars steht unter Verdacht, die beste Band Russlands zu sein (man bedenke, dass Russland ein ziemlich großes Land ist). Das mag wahrscheinlich auch daran liegen, dass Jars sehr gerne und sehr intensiv touren. Das letzte Mal ist das Trio in 29 Tagen von Moskau nach Ulaanbaatar gereist und das auch noch im legendären, sagenumwobenen “Gazelle of Death“, ein Van der bereits seit einem Jahrzehnt Musiker durch die Welt begleitet. Darüber hinaus haben die Jungs auch mit bekannteren Namen wie Tera Melos, The Wytches und Iceage gespielt. Das passt ganz gut, da Jars ebenso unkonventionell sind. Letztes Jahr ist das neuste Album erschienen, welches den Bandnamen in kyrillischen Buchstaben trägt und von Rock bis Metal, Post-Hardcore, Noise und Punk reicht: Es ist hauptsächlich laut, experimentell und stellenweise verrückt.
Abgesehen davon, dass Jars während ihrer Touren und für die Aufnahmen noch Verstärkung haben, besteht das Trio aus Anton Obrazeena (Gitarre, Gesang), Vladimir Veselik (Bass) und Alexander Seleznev (Schlagzeug), wobei Anton das beständige Mitglied ist.
Das Album besteht aus neun Stücken; das Kürzeste ist erreicht nicht einmal die zweite Minute und das Längste geht 14 Minuten. Die Vocals bleiben in der Landessprache und das ist auch Pluspunkt, wenn man mal etwas anderes als Englisch hören möchte. Die Warnung “EXPLICIT” bei fast jedem Titel sollte denjenigen, die die Sprache nicht beherrschen reichen, um zu wissen, dass Anton auch mal rotzig fluchen kann. Glaubt man Antons Aussage in einem Interview, dann sind die Texte sowieso nicht sehr tiefgründig, was die Band umso sympathischer macht. Man kann auch mal auf die Nichtigkeiten der Welt anstoßen!
Hört man in die frühere Werke der Band rein, merkt man schnell, dass das aktuelle Album mehr an Dichte gewonnen hat. Auch hier ist es so, dass die Band nicht direkt mit den ersten Songs überzeugt, sondern erst ab der Hälfte das “Eigenartige” entwickelt, das den Hörer neugierig macht. Im Laufe der 46 Minuten wird es immer hysterischer, wütender und das Tempo nimmt zu, bis das Album dann in einem 14-minütigen Massaker mündet, in dem sogar ein Saxophon sein Unwesen treibt. Danach ist es ein Wunder, wenn man nicht atemlos auf dem Boden liegt. Allerdings passiert das sicher, wenn man ein Jars-Konzert besucht. Übrigens: Das ließe sich doch gleich am 1. März in Berlin einrichten?
Bewertung: 11/15 Punkten (KR 11, DW 11)
www.betreutesproggen.de/2019/02/jars-ii/

Ritkán fordul elő, hogy a minimálisan megmaradt orosz tudásom bevillan. Ami leginkább abban nyilvánul meg, hogy a ciril betűket ismerem és viszonylag folyamatosan ki is tudom olvasni a szavakat. (Oké, még a tanórák elején volt jelentésre is emlékszem. Most már sajnálom, hogy csak ennyi maradt meg.) Na, most szükség volt erre a minimálisra a számcímekhez legalábbis. A JARS egy orosz zenekar, aminek a ciril betűs lemezcíme a zenekar neve. (Csak annak írom, aki nem tudja kiolvasni fent.) A lemez 2018-ban került fel a zenekar oldalára, de a P.O.G.O. Records, januárban tette közzé a bandcamp-en az albumot. Hatalmas ország Oroszország, de mégis meglepődöm mindig, ha valami jó banda kerül elém onnan, pedig nem kéne, mert a nagy számok törvénye alapján miért ne lehetne sok jó. Milyen zene? Noise-rock - metal - punk egyben, váltva, néha, mindig, kísérletezve, néha megőrülve....
A zenekar trió felállásban működik: VLADIMIR VESELIK - basszusgitár, ALEXANDER SELEZNEV - dob, ANTON OBRAZEENA gitár, ének, zajok. A lemezen közreműködik még: NIKITA ROZIN ének 7. szám, VASYA OGONECHEK ének, szöveg 5. szám és ANTON PONOMAREV szaxofon 9. szám. Nézzük, akkor, hogy mit is művelnek moszkvai barátaink. Most hogy elkezdtem írni, gondolkodom, hogy a szám címeket leírjam-e. Hogy írjam? Oroszul és írjam át fonetikusan magyarra? Na, majd meglátjuk!
A lemezen 9 szerzemény található, amit keretbe foglal az első 9 perces és az utolsó 14 perces tétel. Ezekről mindjárt írok külön is, mert elképesztően állat mindkettő. Az első E négy perce egyfajta gitár riff súlyozás, majd második felére belassulnak a srácok és kicsit komótos is lesz, aztán a végére súlyos gitárokkal - az egyik riffeket nyom a másik magas hangfekvésű zajokat - és üvöltő énekkel hergelik a hallgatót. A második Бытие на нож (btie na nozs) akár egy amerikai banda száma is lehetne, nagyon dühös, nagyon punkos. A harmadik (nem vállalom be a címét) esküszöm az első két taktusról a Sex Pistols ugrott be - röhögjetek, de tényleg -, na aztán meg a jó kis UNSANE a gitárról, meg a az egész hangszeres brigád munkálkodásáról. Az ének meg egy hisztérikus, "csaholó", őrült valami. A negyedig Котобус (kotobusz) egy mélyre hangolt basszus témával kezdődik, legalábbis én azt hittem csak az eleje lesz az, de nagyon egyenletesen végig gyalogol az egész számon, amit zajos gitárok, dallamok és riffek vesznek körül, amibe Anton azért néha néha belekiabál. Eléggé befelé fordító darab a zúzása ellenére. Fasza! A negyedik Человек швейцарский нож (cselovek zsventsarszkij nozs) is lehetne egy amerikai banda száma, a szám címe egyébként valami olyasmit jelent, hogy "emberi svájci zsebkés" a címhez hűen nagy darálással kezdődik és úgyis fejeződik be. A közepén a tempót néhány kiállással megtűzve és lassítással fékezve, plusz elég "pszichós" énekkel megtoldva. A végére azért vissza tér a totális őrület. A hatos Саботируй (szabotiruj) nagy kedvencem lett egyből, igazi zajos-punk nóta, feszült, hisztérikus énekkel és kőkemény gitárokkal. Őrület, imádtam! Amit most írok az is furcsa lehet, de a korai NIRVANA ugrott be róla. Azt hittem nem lehet fokozni a vadulást, de hetedik, nyolcadik számban átgázoltak rajtam, olyan erős tempós és súlyos dal mindkettő, hogy csak na. Az hetedik inkább az úthenger, míg a nyolcas inkább valami pszchotikus őrület, üvöltő énekkel, daráló gitárokkal. Az utolsó Все совпадения случайны (vsze szobpadenyija szlucsajní) eleje egy szokásos zajos, punkos szám, feszültséggel teli énekkel és kegyetlen gitárokkal, döngő basszussal, majd hetedig perctől lassú le - lecsapó riffek, karcos ének, zaj, súlyozós riff, zaj, riff, zaj, majd egy free-jazzbe hajló szaxofon jön be és fúj őrült hangokat és növeli a feszültséget. Anton Ponomarev szaxofonjának "csövébe szoruló" hangjaival zárja ezt a 14 perces pszichózist a zenekar.
Ez egy nagyon erős, súlyos anyag. Leginkább azoknak fog tetszeni, akik a noise - rock - punk kombinációt szeretik és értik. Vannak könnyebb energikus részek is benne, de igazán nehéz részek is beköszönnek, amik ha fogékony vagy rá elég szépen beszippantanak, mert a JARS-os srácok totális "bolondokházát" teremtenek néha és a megőrülés határára toltak hallgatás közben. Engem az orosz nyelvű ének nem zavart, mert a zene magában is lehengerlő az ének meg még tesz is hozzá. Csak azt sajnálom, hogy nincs fizikai formátum a lemezből!
komakino.blog.hu/2019/02/03/jars_799

Det er altid spændende når man skal lytte til et band, man aldrig har hørt om før – specielt, når genren er én, der lyder til lige at falde i min smag. På JARS II er jeg blevet introduceret til et band med en lyd, som jeg ville ønske, jeg kunne høre mere af. På samme tid har jeg mødt en flok musikere, der siden 2012 har udført et så stort stykke arbejde, at flere burde kende til dem. Det håber jeg, at denne anmeldelse kan hjælpe lidt til med.
Stemningsmættet og gennemtrængende
Første nummer, ”E”, møder lytteren med hårdtslående guitarer og trommer. Efter flere minutter med temposkift og nærmest hypnotiserende hardcorerytmer, kommer vokalerne fra Anton Obrazeena ind. De er russisksprogede, men passer alligevel unægteligt godt ind i den samlede stemning,der viser sig gennem hele albummet. Beskidt, lettere dystert – decideret pissed off: jeg har ærlig talt ikke den helt store forståelse for, hvad lyrikken i de ni numre omhandler. Et hurtigt kig på oversættelser af teksterne peger dog mod noget politisk nihilisme og ubeskåret vrede mod, ikke så præcist definerede, autoriteter.
Det lyder måske meget flyvsk, men det passer helt vildt perfekt på det meget direkte, intense og samtidigbrede lydbillede, JARS får opbygget gennem de godt tre kvarter,hvor de går amok på JARS II.
Et velorkestreret kaos
Nogle bands som bevæger sig ind i en noise-relateret lyd eller genre, kan have svært ved at komme udenom, at det hele kommer til at lyde bikset sammen. Ikke fordi det ikke også kan lyde meget fedt, men det gør måske selve komponeringsprocessen mindre imponerende end den ellers ville have været. Det problem løber JARS dog ikke ind i på noget tidspunkt: lige fra de lange åbnings- og afslutningsnumre, ”E” og ”All Matches are Random”, til de kortere, tempofyldte og energirige numre som ”Genesis on a Knife”, lyder alting meget gennemspillet og delibereret.
Jeg roste tidligere Antons vokaler, men jeg bliver også nødt til at rose hans både kaotiske, men også kontrollerede, guitarspil. De ville dog ikke betyde så meget, hvis det ikke var for rytmerne leveret af bassisten Vladimir Veselik og trommeslageren Alexander Seleznev. Det er lige præcis disse rytmesektioner, som kan make-or-break hele sammensætningen, når man laver et musikalbum med både hardcore- og noise-elementer. Hvis det bare er ’okay’, bliver det hele lidt det samme igen og igen, og kan derfor blive meget kedeligt – meget hurtigt. Heldigvis er bassen utrolig let at høre, og styrer med hård hånd rytmen både op og ned i sindssyge tempoer sammen med trommerne, så det aldrig bliver for ensformigt at være lytter.
En rejse til Rusland du ikke vil fortryde
Det er meget svært for mig at sige noget decideret negativt at sige om JARS II. Deres musik giver mig lyst til at smadre mine omgivelser – men på en god måde.Det er grimt, surt og bidsk, men lige som jeg godt kan lide det. Hvis jeg fik muligheden for at se dem live, men jeg blev nødt til at tage til Rusland for at gøre det, ville jeg ikke tøve. Jeg er blevet introduceret til et band, som jeg er meget spændt på at følge i fremtiden, og jeg er sikker på, at du vil det samme.
JARS har knoklet røven ud af bukserne i højere grad end de fleste selvskabte bands de sidste 7-8 år. Med både EP’er og livealbums oveni deres almindelige albumoutput, så kan jeg ikke se andet end kultstatus for dem i fremtiden, hvis de ikke allerede har opnået den i deres hjemland. De russiske myndigheder er for tiden tit i menneskerettighedsorganisationers søgelys, blandt andet omkring censur af musik, specielt rap, hip hop og punk. Det er derfor vigtigt at støtte bands, som er med til at holde scenen i live derovre.
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released January 21, 2019

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