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BLACK INK STAIN "Incidents" (pogo 151)

by pogorecords

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1.
2.
3.
Sans Facon 04:03
4.
ST02 04:24
5.
Stuck 02:56
6.
7.
8.
S.O.M.A 05:20

about

debut album "Incidents" on april the 30th on Atypeek Music, Araki Records, Day Off Records and P.O.G.O. Records.

Recorded, mixed and mastered by David Weber
at Studio des Forces Motrices - Geneva

All songs by BLACK INK STAIN
Contact/Booking : straight-fab@hotmail.fr

Cover photo by : Dave Hoefler
Back photo by : Hans Eiskonen

www.facebook.com/BlackInkStain
blackinkstain.bandcamp.com

REVIEWS

ISSUES #49
drive.google.com/file/d/1GP7mwcFIJS8i2nsMGVHGbRmDpPsmuhEz/view?fbclid=IwAR0MRLajNcKdo1k061iW69MgjIKgG0d_oYCQ8gko_F3yJyfS9d9c--iaGxw

« Le bazar est meurtrier, digne des plus grands de son créneau musical, beuglant et entrecoupé. Puissant comme un Treponem Pal, en dépit d’une orientation différente, méchant sans être bûcheronnant à outrance, il offre avec brio des encarts mélodieux. Everything Gets Distorted, comme le dit un opus de nos libournais préférés mentionnés au début de mon écrit. I see you dead, méchamment noise, se souille et groove parce que derrière une approche percutante, la rythmique ne manque pas de souplesse. Tout est bon, ici et de toute façon. On sait de plus, quand il le faut, aérer l’ensemble. »
www.muzzart.fr/20210418_32401_black-ink-stain-incidents-atypeek-music-araki-records-p-o-g-o-records-day-off-records-30-avril-2021

"Avec son noise rock unsanien, Black Ink Stain est le morceau que je préfère cette semaine. L'album des stéphanois sort à la fin avril chez Atypeek Records, Day Off Records, Araki Records et P.O.G.O. Records, et il s'annonce déjà comme une tuerie du genre."
noisytapes.com/morceaux-de-la-semaine-41

"Black Ink Stain, Incidents, des flammes en noir et blanc qui consument la pochette. Quelques indices déjà montrant qu’on ne va pas rigoler beaucoup. On commence l’écoute et on ne s’était pas trompé : ce qui sort des enceintes ne marque pas vraiment par son côté lumineux.
Black Ink Stain, c’est un trio (originaire de Clermont-Ferrand) et sa musique, du noise-rock à la noirceur de jais. Très marqué par les ’90s, rappelant Unsane même si Incidents n’est évidemment pas un décalque : c’est frontal et jusqu’au-boutiste certes mais c’est aussi très froid. Un genre de glas résonne d’ailleurs au tout début et il traduit plutôt bien ce que sera le disque. Tendues, incisives, tracassées, les huit enclumes d’Incidents transpirent l’exaspération, la colère et le pas clair par tous les pores de leur masse froide et il y a un je-ne-sais-quoi de moribond qui s’insère en permanence là-dedans.
Ça ne va jamais très vite mais c’est empreint d’une lourdeur singulière, bien plus ressentie que réelle, un peu comme si les morceaux avaient du mal à s’extirper de la boue froide qui leur colle aux basques, tout entiers insérés dans une gangue malléable qui n’empêche peut-être pas le mouvement mais limite les gestes. Incidents ne garde que l’essentiel et l’essentiel, chez Black Ink Stain, est contenu dans son nom : une tâche d’encre noire. Une tâche que l’on imagine à la Rorschach mais qui ne révèle que des images pas bien jolies.
D’emblée, c’est Slice Of Pain, sa grosse basse psychorigide, les incisives de sa guitare barbelée, la batterie un poil tribale et les cris. Les enclaves de calme relatif aussi où ne semblent résonner que quelques arpèges clairs alors que les tirs de mortier ratissent le pourtour. Ça représente bien ce que par quoi va nous faire passer tout le reste : ça sera souvent massif mais il y aura aussi ces îlots suspendus dans les airs, permettant à la fois de retrouver son souffle mais exacerbant aussi le grand malaise.
Le reste, ce sont donc des morceaux ultra-précis (et parfaitement captés par David Weber aux Forces Motrices à Genève) et assez variés malgré le vernis monolithique bien noir qui les recouvre : le chant clair et le tempo lent de Pont Des Goules, le strictement instrumental Sans Façon, l’urgence toute unsanienne d’I See You Dead ou Frozen Stance, les strates à l’épaisseur mouvante de S.O.M.A, etc. La nuance est loin d’être proscrite et les potards ne sont pas que dans le rouge, décuplant l’envergure d’Incidents. D’autant plus qu’en jetant une oreille sur leur déjà très intéressant éponyme de 2017, on voit bien comment le trio a travaillé sa matière, arasant les derniers reflets catadioptres pour ne garder aujourd’hui que le charbon noir.
À bien y regarder, la musique de Black Ink Stain est parfaitement retranscrite par la classieuse pochette : on sait bien que c’est un incendie mais les flammes ont l’air froides et on imagine volontiers la morsure du brasier complètement glaciale."
www.dcalc.fr/black-ink-stain-incidents/

(..) If you’ve ever seen the movie “Black Dynamite” there’s the scene where he’s walking around the neighborhood and he is approached by two kids saying their dad is also named Black Dynamite and he awkwardly just tells them, “hush up little girls, lots of cats are named Black Dynamite”, in an obvious denial of owning up to past booty call consequences. I feel like anytime the members of Unsane walk into any venue in Europe they have to go through a similar rigmarole as band after band calls them ‘daddy’. Their influence has a streak a mile wide and France’s Black Ink Stain certainly have inclinations to carry that torch. They work in the same consistent tempo, sludgy dreck of sonic heaviness scraped off the boot of an aggravated gravedigger, ready to shank the next tourist looking for ‘rue Morgue’ with a dirty shard of glass in the form of pointed riffs that maim and clobber the listener. It’s a decent effort and it reminds me of Unsane off-shoot band Pigs more than anything, mixed with a good dose of European noise progenitors Breach. This appears to be the bands first full length release after a digital EP a few years back. But as they say, like father, like son (...)
hanginghex.blogspot.com/2021/05/its-may-enjoy-new-music-to-annoy.html

(...) Pogo Records is quite the label, it is filled with sludge, riffs, noiserock, hardcore and stuff like that. If you have a bit time to burn then it is an excellent place to check out their catalogue. Now their is a new band in France that is called Black ink Stain that is going to release their debut album on Atypeek Music, Araki Records, Day Off Records and P.O.G.O. Record and they have shared their first two tracks from that album and both will ripp your face of. The band is now ofcourse on my French List too.(...)
fuzzy-sun.com/2021/04/30/black-ink-stain-to-release-incidents

Superbe pochette* en noir et blanc représentant une composition entre poutres et flammes, les unes sous les autres, flammes vivaces s'étalant largement sur la ville comme une mer de bruit se répend sur Vulcania. Bonchoir Madame, Bonchoir Monsieur. Autour de BIS, les stigmates de la violence ont tous les signes de cette Noise dense et scintillante des années 90. UNSANE, HELMET etc... Après un ep en 2017, des concerts avec quelques références du moment ( BLACKLISTERS, STUNTMAN ou CARNE), le trio clermontois BLACK INK STAIN capitalise sur sa réussite et passe à l'action en partant enregistrer un superbe premier album au studio des Forces Motrices à Genève. David Weber en action. Un léger sample à l'ancienne, une partie rythmique, tribal, l'orage avant la tempête, les références à UNSANE sont légions (I see you dead, sans facon...), niveau compo, niveau son et ces arpèges de la guitare en son clair me renvoie souvent au groupe de Spencer. La guitare dicte sa loi, c'est propre et BIS marche en rouleur compresseur, défrichent les sentiers oubliés, creusent un peu plus profond dans la terre battue par d'autres : 'stuck' renvoie à JESUS LIZARD, ' I see you dead' fait référence à PROHIBITION quand le chant s'apaise et vient se lover autour du cou de la guitare. C'est clair et net, les stigmates du Noise rock des années 90 sont présents. Ca saigne dans le creux de la main et ces mélodies tordues à l'encre noire ont la précision spatiale des lancements de fusée réussis. BLACK INK STAIN est en orbite et nous avec.
stnt.org/index.php/content/black-ink-stain-incidents-day-records-2021

′′ Mess is killer, worthy of the greatest in their musical niche, bramando and intercalando. Powerful as a Treponem Pal, despite a different, unpleasant approach without being excessively heavy, it delivers brilliantly melodious insertions. ′′ Everything Gets Distorted ", as one of our favorite Libourne opus mentioned at the beginning of my writing. ′′ I see you dead ", wickedly noisy, gets dirty and gets groovy because behind a percussive approach, rhythmic doesn't lack flexibility. Everything is good, here and anyway. We also know, when necessary, to vent the outfit."
underalternativo.blogspot.com/2021/05/atypeek-music-araki-records-day-off.html

Coïncidence, et incident dans le calendrier météorologique déréglé, je me suis attaqué à cet album du trio Black Ink Stain, le jour où le ciel a décidé d’entamer une confrontation avec le soleil, et l’astre brûlant ne semble pas avoir la partie facile, l’ombre gagnant du terrain, un ciel noir recouvrant la toile immaculé de bleu qui nous servait d’illustration monochrome. C’est qu’« Incidents » n’a pas vocation à s’écouter en tong en sirotant un cocktail au bord d’une piscine sous une chaleur indécente. Non pas que l’album soir glacial, il serait plutôt brûlant comme semblent devoir l’être le sol de l’enfer, suivant les revenants du pays des morts. Avant tout, car la suffocation (celle du monde ?) semble être l’oxygène d’un disque qui nous rappèle le meilleur de Girls Against Boys ou de Gumball pour les plus anciens d’entre vous et qui approchent de la retraite....et de la piscine. Plongeant comme un électeur des Républicains sous un train à grande vitesse, je suis entré dans ce tourbillon créé dans un liquide plus dense que l’eau, rendant ma nage aussi complexe que de courir un cent mètres dans des sables mouvants. Lourd et pesant, le climat que le trio échafaude, n’a rien non plus de comparable dans la climatologie de la noise d’ici, maîtrisant la science du feu au bout de la tête d’un belier, donnant à cette musique une forme de méthodologie quasi-évangélique, implorant les éléments pour mieux les soudoyer et les dresser pour le chaos. Avec la double compétence d’un alchimiste et d’un apprenti sorcier, le trio Black Ink Stain fusionne et transgresse, éradique le silence et fait de la couleur un duel remporté sans merci entre le noir et le reste. « Incidents » est une œuvre presque biblique, un soir de cataclysme épique.
www.adecouvrirabsolument.com/spip.php?article8326

BLACK INK STAIN is a Noise Rock trio from Clermont-Ferrand who gives in the front end, with a dense and powerful sound, mainly inspired by 90's Noise scene and bands like HELMET or UNSANE.
www.dailyentertainmentworld.com/post/music-of-the-day-black-ink-stain-i-see-you-dead

Amennyiben jól tudom és jól tudom, akkor az Incidents a francia Black Ink Stain első teljes nagylemeze. A trió 2017-ben hozott ki egy négy számos EP-t, azóta csend. Áprilisban a hosszú hallgatás után megjelent ez a nyolc számos album, ami fizikai és digitális formátumban is elérhető. A zenekar tagjai: Fab - gitár, ének, Jean - basszus/vokál és Ugo - dobok.
Elsőre, ha végig robog a hallgató a lemezen, akkor két dolog fog bevillanni biztosan. Először az, hogy ezek a srácok nem ma kezdték a noise-rockkal való ismerkedést, másodjára meg egy zenekar név. A zenekar neve meg a közelmúltban feloszlott UNSANE lesz. Legalábbis nekem!
A lemez kicsit több mint 30 perce egyébként nagyon gyorsan átfutott rajtam, mert egyrészt élveztem a gitárok "vágását", sőt az is, hogy nem akarja az énekes egyből leüvölteni a fejemet, még akkor is ha ezt teszi. Szóval nem lő túl a célon, mert egységesen vastag, energikus az egész Incidents és nem csak az énektől vagy a gitártól. A nyitó száma Slice Of Pain-t meghallgatja bárki, már teljesen egyértelmű, hogy piszkosul tudták a srácok mit akarnak. Feszes basszus, kicsit tördelt dobütemek, karcoló, torzított kellően zajos gitárok, az énekkel együtt odacsapnak ahol kell, de engednek egy kis kalandozást is. A második I See You Dead-nél is, amennyiben őszinte vagyok villogott az UNSANE felirat a fejemben végig. Ettől függetlenül mindkettő megtalált és be is "darált". Aztán ahogyan váltották egymást a számok egyre inkább tompult bennem ez a "felirat villogás", mert néhol sokkal tisztább a zene, mint az amcsiknál. A gitáros nem csak egyszerűen jó riffeket nyom, hanem egy csomó ködös zajképletet, ráadásul a számokban a dob - basszus tördelésekben is rendesen részt vesz. A legtöbb számban a kicsit "pszichósabb", borultabb, hűvös részek tetszettek nagyon, olyanok mint az I See-ben az utolsó 1,5 - 2 perce. A hármas Sans Facon eleje is ilyen, a négyes ST02 zárása, de szinte minden darabban van egy - egy ilyen "kattanás".
komakino.blog.hu/2021/05/11/black_ink_stain_incidents

No-nonsense noiserock, je mag er Opduvel ’s nachts voor uit bed halen. Muzikale impact maken met gitaar/bas/drums/zang zonder opsmuk, als het even kan ook zonder pathetiek en mét harde riffs, stuwende baspartijen en donderende drums, dat alles gebracht zonder al te veel effecten: er gaat niet veel boven. Uit Frankrijk komt het trio Black Ink Stain die stelling bewijzen met hun eerste volledige album Incidents.
Vier jaar geleden deed de band overigens al van zich spreken met een ep waarop op Unsane-leest geschoeide noiserock de boventoon voerde, zonder dat de Franse groep in epigonisme verviel. Binnen de noiserock-kaders bleek er ruimte voor nuance in songs die ruw op de band waren gekwakt maar ook de coole beheersing die goede noiserock kenmerkt naar voren lieten komen. Nog niet alles viel op zijn plaats, maar de belofte was er.
Black Ink Stain’s albumdebuut telt acht songs waaruit blijkt dat de band de paar plooien die op de ep te vinden waren heeft gladgestreken. De strakke basis is er nog steeds, maar de band heeft een beetje aan agressie en nog maar aan zeggingskracht gewonnen. De muziek wordt net iets meer in je smoel gesmeten dan voorheen. De Unsane-referentie is er nog steeds, maar het mag de pret niet drukken. Black Ink Stain is er niet om het wiel opnieuw uit te vinden, maar om te doen waar ze goed in zijn.
En dat is: geen gelul, gewoon ongepolijste noiserock spelen, zonder kapsones, zonder pretenties, zonder opsmuk, gewoon recht voor zijn raap en goudeerlijk. Ja, het lijkt allemaal op elkaar, maar er is genoeg variatie op het album te vinden om de muziek boeiend te houden. Bovendien onderkent de band hoorbaar het belang van enige nuancering binnen de songs, net als op de ep.
Het album opent met wat vervormd klokgelui, voordat harde drumslagen opener ‘Slice of Pain’ op gang trekken. De gitaar/basriff die volgt is strak en memorabel en daar wordt een nieuwe gitaarriff achteraan gespeeld. De wedstrijd is al bijna gewonnen voordat die goed en wel begonnen is. Verderop volgt nog een killerriff, iets waar de band duidelijk niet om verlegen zit. De vocalen trekken de muziek het Unsane-kamp in, maar kruipt net als de muziek ook richting sludge metal. Daar zit het onderscheidende kenmerk van Black Ink Stain ten opzichte van veel andere noiserockbands.
‘I See You Dead’ ligt qua tempo net iets hoger dan de openingstrack, maar valt nog altijd in de categorie midtempo. Sterke troef is de donkere rand die Black Ink Stain in deze song weet te creëren. De zware bassound is imponerend en de drummer is een houthakker die dat doet wat nodig is maar ook met de nodige fills het zaakje opzweept. Ergens halverwege is er de nuance: het tempo zakt een beetje, er wordt muzikaal gas teruggenomen en er is ruimte voor melodie in de gitaar. Wanneer de band er daarna weer vol op klapt, komt dat des te harder aan.
Het instrumentale ‘Sans Façon’ opent met een basriff, die even later door de gitaar kracht wordt bijgezet. Mooi is hoe daarna de gitaar met een heldere klank en een minimaal aantal noten over de basriff zweeft. Over nuance gesproken. Maar vergis je niet: de band hakt er zeer stevig op los en de riffs zijn onontkoombaar. Opnieuw weet de band in zijn sound de link te leggen tussen noiserock en sludge metal. Het op de ep te vinden ‘ST01’ krijgt op het album een vervolg met ‘ST02’, dat net als zijn voorganger een vernietigende sound laat horen, op basis van een snoeiharde, unisono door bas en gitaar gespeelde riff. De variatie wordt gevonden in een paar staccato gespeelde optaters in het laatste gedeelte van de song.
De bassnaren lijken wel kabels in het intro van ‘Stuck’, een song waarin opnieuw die zeer geslaagde kruising tussen noiserock en sludge metal in de stijl van Black Tusk ten tijde van Set The Dial te horen is. Black Ink Stain klinkt wel wat strakker dan de band uit Savannah, Georgia en de hardcore-invloed is er niet bij de Fransen. Het tempo gaat behoorlijk naar beneden voor ‘Pont Des Goules’, waarin stukken clean gezongen worden, afgewisseld met schreeuwzang. Het stuk kent een paar fraaie dynamische contrasten en biedt wat meer ademruimte dan de meeste andere songs op Incidents. Vermelding verdienen het afwisselende gitaarspel en de goed geplaatste mokerslagen van de drums.
De basriff is leidend aan het begin van ‘Frozen Stance’, wat de gitaar ruimte geeft om de muziek verder in te kleuren zonder zich om de riff te hoeven bekommeren. Het stuk is somber gestemd en er klinkt een post-punkinvloed in door. De band bewijst zowel recht vooruit te kunnen beuken als spanning op te kunnen bouwen. Met het betere sloopwerk lijkt ‘S.O.M.A.’ het album af te sluiten, maar de band neemt halverwege serieus gas terug. Wat even een dip lijkt te zijn, blijkt een kracht, want de band bouwt de song opnieuw op en geeft de muziek zelfs een extra energieboost in het laatste gedeelte. Een perfect einde van een sterke noiserockplaat.
opduvel.com/2021/05/23/black-ink-stain-incidents

(...) Guitars lumber, vocals bellow, drums exorcise still spirits: this is Incidents, the debut from Black Ink Stain.
The French noise-rock trio sounds like Unsane, and this album is like a used cargo van overloaded with deep-groove riffs bowling down the freeway.
“I See You Dead” opens with a continuous track of bass and drums along with a dissonant guitar. Then the song rounds into a steel-chain groove accompanied by a flat, shouted vocal. A vacant, moody section comes at about two minutes in, and, after that, everything condenses again loudly into the groove.
“Pont Des Goules” is the most dynamic song on Incidents. It starts with a soft-focus riff, fuzzy notes soon accompanied by another steel-toe beat. Then comes a clean vocal—a rarity for Black Ink Stain. The song flows between parts like lava and recalls the soft-loud-soft-loud style so prevalent in the 1990s. On “Frozen Stance,” a bass riff rumbles and jabs through the opening minute. Restless drums and a dissonant guitar join, and this leads into a loafing, bottoming-out chorus.
Most songs fit this pattern: trunky grooves power ahead, find pockets of noise, then get back in gear. Black Ink Stain also takes advantage of the loads of momentum it builds in songs to add in breakdowns or syncopated high-knee jogs and not lose the groove. I guess once you build up that inertia, the easiest thing to do is keep going.(...)
www.rebelnoise.com/reviews/the-debut-album-from-black-ink-stain

"Black Ink Stain, c’est un trio (originaire de Clermont-Ferrand) et sa musique, du noise-rock à la noirceur de jais. Très marqué par les ’90s, rappelant Unsane même si Incidents n’est évidemment pas un décalque : c’est frontal et jusqu’au-boutiste certes mais c’est aussi très froid. Un genre de glas résonne d’ailleurs au tout début et il traduit plutôt bien ce que sera le disque. Tendues, incisives, tracassées, les huit enclumes d’Incidents transpirent l’exaspération, la colère et le pas clair par tous les pores de leur masse froide et il y a un je-ne-sais-quoi de moribond qui s’insère en permanence là-dedans.
D’emblée, c’est Slice Of Pain, sa grosse basse psychorigide, les incisives de sa guitare barbelée, la batterie un poil tribale et les cris. Les enclaves de calme relatif aussi où ne semblent résonner que quelques arpèges clairs alors que les tirs de mortier ratissent le pourtour. Ça représente bien ce que par quoi va nous faire passer tout le reste : le chant clair et le tempo lent de Pont Des Goules, le strictement instrumental Sans Façon, l’urgence toute unsanienne d’I See You Dead ou Frozen Stance, les strates à l’épaisseur mouvante de S.O.M.A, etc. La nuance est loin d’être proscrite et les potards ne sont pas que dans le rouge, décuplant l’envergure d’Incidents. "
www.indierockmag.com/article34328.html

“Incidents” non fa sconti a nessuno, arriva deciso e diretto, con i suoi riff vibranti, le sue sonorità crude ed abrasive, il suo miscuglio incandescente di noise rock, post-grunge e atmosfere alternative-rock che ci riportano ad un’epoca, quella degli anni Novanta, nella quale eravamo più ingenui, più puri, meno invischiati in questa maledetta rete globale che, oggi, inquina le nostre scelte, limita fortemente quello che dovrebbe essere il nostro libero arbitrio e marginalizza tutti coloro che sono poco inclini a sottomettersi ai suoi schemi logici e ai suoi modelli comportamentali.
complete review here:
www.paranoidpark.it/.../23/incidents-black-ink-stain/

"Résolument plus rentre dedans que ces confrères et agrémentés de riffs mémorables, Black Ink Stain réalise un album d'une rare perfection où chaque titre se démarque de l'autres soit par un riffs, une intro ou une mélodie.
Quoiqu'il en soit, "Incidents" est un des albums majeurs de de ce style en France et personne ne pourra le nier ..."
undersociety.fr/_MUSIQUES/CHRONIQUES/vinyl_0118.html

Le souffle des années 90 berce encore nos vies et c’est un vrai bonheur, ces années créatives ont permis l’éclosion de nombreux styles et l’émergence de groupes cultes. Aujourd’hui à travers Black Ink Stain c’est la formidable vague noise qui nous souffle à nouveau ses embruns.
Black Ink Stain me replonge dès les premières minutes près de vingt-cinq années en arrière, dans cette atmosphère noise mais mélodique, la guitare est acérée et tranchante et avec une rythmique tranchée (Slice of pain), le groupe clermontois fait dans l’efficacité absolue. Et c’est de Unsane que j’ai envie de rapidement rapprocher le groupe, de par la puissance brute et les explosions sonores, c’est le cas sur Frozen Stance et sa basse omniprésente ou St02 très direct dans sa démarche.
Peut-être plus posé Pont des goules amène un petit souffle de répit et j’aurais aussi envie de rapproche le groupe des montpelliérains de Tantrum qui m’ont toujours fait une grosse impression sur scène mais aussi d’Helmet, groupe énorme que je trouve un peu injustement oublié.
J’aime quand le groupe développe ses mélodies à la façon Human Impact, sur l’instrumental Sans façon le son est lourd mais on se laisse prendre et emmener. Black Ink Stain conclut de belle manière son premier album avec le redoutable et puissant S.O.M.A. encore à la manière Unsane.
C’est un premier album explosif que vient de nous livrer Black Ink Stain. Brutal, lourd et terriblement efficace. L’un des moments forts de cette année musicale 2021.
lesreveriespunkrock.blogspot.com/2021/06/black-ink-stain-incidents.html

(...) 32 écoutes ultérieures, les enceintes vont bien et celui qui les possède est resplendissant, galvanisé, refait à neuf. L’épreuve du temps nous dira s’il s’agissait d’un simple Incidents de parcours mais on a beau déborder d’imagination, on a un peu de mal à concevoir un autre scénario que le début d’une ascension vertigineuse. (...)
exitmusik.fr/black-ink-stain-incidents

I See You Dead... le premier extrait d’Incidents positionné aux avant-postes des internets dès le mois d’avril dernier n’avait trompé personne sur les intentions de BLACK INK STAIN, jeune trio clermontois très respectueux des tables de la Loi. Et les premières écoutes de l'album m’ont tout de suite convaincu que j’allais beaucoup aimer ce disque. Cela a été imparable. Avec en prime une enseigne géante de néons électriques clignotant furieusement dans ma tête, me rappelant comme si j’en avais encore besoin cette règle absolue du noise-rock réactionnaire et conservateur – qualité / savoir-faire / tradition – et que je me répète à chaque fois comme un mantra maléfique dès qu’un disque de la trempe de celui-ci tombe entre mes oreilles. Encore du bousin explosif, encore un truc à la fois lourd, gras et puissant, brûlant et froid, un amas de tripailles qui s’adresse d’abord et principalement aux fanatiques et admirateurs d’Unsane, l’incontournable modèle du genre.
Il y a des choses qui rassureront toujours le dépressif à temps partiel que je suis, qui atténueront toujours mes peurs et calmeront mes névroses et la musique fait partie de ces choses là. Dans Incidents on trouve des riffs qui torpillent, parfois très insidieusement, des lignes de basse qui terrassent, du chant de braillard qui te crache à la gueule, des compositions pesantes et puissantes, du gros son concocté par l’éternel David Weber au studio des Forces Motrices à Genève, un penchant avoué pour la musique urbaine folklorique US du début des années 90 et pour la perpétuation des traditions charcutières. Et, plus que tout le reste, il y a cette possibilité offerte sur un plateau de s’isoler, solidement entouré par un mur du son dévastateur qui fait le vide absolu tout autour (et là du coup on a un peu moins peur, en tous les cas cela fonctionne très bien avec moi).
Tout bien sûr n’est pas parfait sur Incidents, la deuxième face du disque se traine un petit peu plus en longueur et on se surprend à penser que le riff-leitmotiv de deux notes et demi et très basique de Frozen Stance doit forcément faire un carnage en concert mais qu’à écouter tranquillement à la maison ce n’est pas forcément la meilleure idée du monde. Mais rassurons-nous, sur ce premier album il y a nettement plus de moments vraiment appréciables et fulgurants que de passages réellement ennuyeux. Et les trois Black Ink Stain nous ménagent même quelques surprises, telle que Sans Façon, un titre instrumental avec une technique imparable d’hameçonnage, nous forçant à constamment rester en attente d’une ligne de chant qui donc ne viendra pas… on suit par contre avec délice la basse vrombissante et la guitare qui en profite elle pour se montrer un peu plus aventureuse que sur les autres compositions d’Incidents. Le chant clair au début de Pont Des Goules vient également pondérer un enregistrement qui sans cela pourrait sembler un peu trop monolithique (rien de tel qu’un verre d’eau de vie pour dissoudre les graisses). Parce que même si on aime avoir mal il est toujours bon de souffler un peu. Jusqu’à la prochaine fois. Alors à bientôt j’espère, dans une cave humide ou un hangar pourave, pour (re)découvrir ce disque incandescent en live, dans la vraie vie.
666revolutionsparminute.blogspot.com/2021/06/black-ink-stain-incidents.html

Depuis le morceau d’ouverture, « Slice of pain », et sa batterie esseulée comme un cri de ralliement, jusqu’à « S.O.M.A. » qui conclut ce premier album en grandes pompes, la mécanique imposante mise en place par le groupe frise la perfection.
Groove pesant, ralenti qui t’étouffe, riffs plombés qui tournent sur eux-mêmes comme des bêtes en cage, lignes de basse massives, sinueuses, serpentant au milieu des rythmiques syncopées et des voix – parfois un poil en-dessous de l’ensemble - au bord de la rupture. Un champ de ruines avec les new-yorkais d’Unsane comme figure tutélaire. Ombre planant au-dessus des décombres fumantes. Vision d’un noise-rock incandescent un instant ressuscité - à vrai dire, même le clip sorti pour le morceau « I see you dead » a quelque chose de très 90s, très MTV, assez marrant.
De cet ensemble massif, monobloc, un morceau se distingue. Avec son chant clair qui ne se tarde pas à se charger en électricité et ses harmoniques à la guitare, « Pont des goules » brouille davantage les pistes, lorgne vers un post-hardcore des débuts ou presque. Évoquant des groupes comme Hoover ou Lincoln mais d’une façon assez personnelle, il laisse entrevoir ce que Black ink stain — dont la passion pour cette musique est impressionnante — pourra être lorsqu’il parlera encore davantage sa propre langue.
rictus.info/l-apocalypse-noise-rock-selon-black-ink-stain.html

*** THEY TALK ABOUT:
SHHOT ME AGAIN
www.shootmeagain.com/readnews/72236_lepremieralbumdeblackinkstainenecoute

NOISE MAG
www.noisemag.net/black-ink-stain-premier-album-en-ecoute

BLOODY NEWS
bloodynews.ro/en/2021/04/26/black-ink-stain-announce-the-release-of-their-debut-album-incidents

Suoni Distorti Magazine
suonidistortimagazine.com/black-ink-stain-in-uscita-lalbum-di-debutto-incidents-due-brani-on-line

1312 Punk & Metal
punkandmetalnews.wixsite.com/1312/post/black-ink-stain-incidents

THE PUNK SITE
www.thepunksite.com/news/black-ink-stain-announce-new-album-incidents

METAL PRISON
metalprison.blogspot.com/2021/04/black-ink-stain-incidents-out-now.html

METAL WORLD Argentina
metalworld.com.ar/los-franceses-noise-rock-de-black-ink-stain-lanzaron-su-album-debut-mira-el-videoclip-del-single-i-see-you-dead

*** RADIO:
kfuel.org/radio/playlist-22-04-2021-un-peu-plus-pres-du-boomer

www.mixcloud.com/Kool_strings/kool-strings-18-04-21

OutSounders #71 - rec.09/05/21 - diff 11/05/21 - tinyurl.com/uyx4mf3j

rdwa.fr/emission-musicale/trafic-2-rock-emission-musicale/trafic-2-rock-radio-show-playlist-artistes-labels-etrangers-47-p-o-g-o-records/?fbclid=IwAR0aumhmjmAWcLU-EOrphRP-pYSPe6HyUT6dMBmiYSsKbiayXxbj9KrpKDU

Noise Floor
www.mixcloud.com/xella/playlist-61

Muzak Review
open.spotify.com/playlist/6kxDcDy8gJonRwp8HSRPOn?fbclid=IwAR2nBTlKIL8QXNZOZO4TyYGU3_Q09T0uqWyFeEiROx4-pY1Za4a9kzJU5sk

www.radio-mdm.fr/podcast/electric-troubles-1232-black-ink-stain-09-06-2021

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released April 28, 2021

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